Le bien-être gagne à devenir depuis maintenant plusieurs années une tendance qui s'impose comme majeure au sein de la société française. La volonté de prendre soin de soi, qui se caractérise de multiples manières, a pour conséquence de devenir un marché en très forte croissance dans l'Hexagone, dont la franchise a bien compris l'importance en investissant depuis un certain temps ce ce secteur.
Un signe qui ne trompe pas : de plus en plus d'étudiant en STAPS (la célèbre fac de sport) choisissent l'option « entraînement sportif » en licence. Rien d'étonnant à cela car le coaching personnel, qu'on peut aussi exercer via un BPJEPS (activités physiques pour tous ou activités gymniques de la forme et de la force) est actuellement un véritable filon professionnel en train de se transformer en mine d'or. Si le marché ne pèse que 10 millions d'euros (et le coaching à domicile autour de 2-3 millions d'euros), il est en croissance constante puisqu'il devrait augmenter de 15% par an au moins jusqu'en 2022 ! La plupart des coachs sportifs sont des indépendants dont le manque de moyens au niveau de la communication les pousse à utiliser le « bouche à oreille » et leurs réseaux pour développer leur activité. Mais il existe aussi des agences traditionnelles, soucieuses de donner une crédibilité au métier (via une publicité du CV des coachs salariés obligatoirement diplômés). L'avantage du coaching sportif ? La personnalisation, le suivi et la flexibilité des séances (en terme d'horaire et parfois, en terme de contenu).
Au niveau du secteur du bien-être (instituts de beauté, centres bien-être SPA, thalassothérapie et thermalisme, réseaux de distribution cosmétiques et parfumeries), les chiffres sont impressionnants puisque ce marché, en 2016, a généré un chiffre d'affaires de 1.6 milliards d'euros en 2016. Une « industrie » regroupant 26.930 établissements dans l'Hexagone employant 46.200 salariés. Un marché qui, comme dit plus haut, ne va sans doute cesser de croître. En effet, de nouveaux segments de la population veulent prendre soin d'eux, comme les seniors (dont le pouvoir d'achat est, comparativement, supérieure aux générations précédentes), les hommes, de plus en plus préoccupés par leur esthétique et les jeunes femmes. Dans une acception (beaucoup) plus large (en comprenant entre autres le coaching sportif, salles de sport, les médecines douces,etc.) le secteur du bien-être a généré un chiffre d'affaires en 2016 de 37.5 milliards d'euros, connaissant une croissance de 7% par rapport à 2015. Un marché que la franchise ne pouvait évidemment pas ignorer.
Deux réseaux principaux existent dans le domaine du coaching sportif. L'un est le pionnier dans le secteur (le premier franchisé ouvre son implantation en 1999). L'autre est beaucoup plus récent puisqu'il fait appel à la franchise depuis l'année dernière. Mais ces réseaux ont le point commun de demander un investissement global peu important : 8.000€ chacun. Tous les deux ont choisi la forme juridique d'une franchise classique.
Les réseaux consacrés au bien-être sont eux évidemment plus nombreux et concernent de multiples domaines : salles de sport/fitness (du low-cost au premium), instituts de beauté, réseaux de rééquilibrage alimentaire, centres de bien-être, coiffure, centre de cryothérapie, aquabiking, etc.
Un panel de réseaux extrêmement varié mais qui ont tous en commun de posséder les avantages de la franchise : la renommée de la marque, des moyens mis par le franchiseur dans les campagnes (nationales ou locales) de communication et de marketing, un concept éprouvé dans d'autres territoires et depuis un temps qui garantit leur pertinence ou des formations initiale et continue proposés pour pouvoir toujours répondre aux nouvelles demandes de la clientèle.
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