Pourquoi avez-vous choisi X’PERT IMPACT ?
J’ai choisi X’PERT IMPACT parce que j’ai tout de suite été rassuré par ce que le concept proposait. La promesse m’a semblé solide, sans faille, sans survente. C’était clair de bout en bout. Il n’y avait aucune zone d’ombre, aucun discours flou.
Je l’ai vécu comme ça dès le départ. J’ai vu une pub sponsorisée qui parlait de devenir franchisé, de chiffre d’affaires, etc. Et à ce moment-là, j’avais déjà un an d’expérience dans le métier. Je voyais donc assez bien comment se comportait le marché, ce qui marchait, ce qui manquait. Et j’ai vite compris qu’X’PERT IMPACT proposait justement ce qui faisait défaut au débosselage en France — du moins à mes yeux. Et c’est ça qui m’a plu.
J’ai aussi rejoint X’PERT IMPACT pour la force d’un groupe. Dans ce métier, il y a pas mal d’argent à se faire, mais c’est aussi un secteur où les gens peuvent se tirer dans les pattes. Il circule de fausses informations, certains vont jusqu’à piquer les clients des autres… Il y a souvent de la malveillance quand on est seul, en indépendant.
Mais quand tu intègres un groupe structuré, avec des secteurs bien définis, où il n’y a pas de concurrence entre les franchisés, tout change. Personne ne peut venir te prendre ton client. D’un seul coup, tout le monde a intérêt à se soutenir. C’est cette énergie collective qui a fini de me convaincre.
Pourquoi avez-vous choisi de rejoindre une franchise plutôt que de rester indépendant ?
Au départ, je pensais vraiment rester seul. Mon souhait, c’était d’être libre. Quand j’ai quitté mon job de commercial, c’était pour ne plus dépendre de personne, faire ma vie professionnelle comme je l’entendais.
Mais au final, j’ai réalisé que la franchise était un bon compromis. Il n’y a pas d’obligations autres que le respect de l’image du réseau, ce qui est normal. Il n’y a pas d’objectifs imposés, pas de comptes à rendre au quotidien. Tu restes autonome.
Ce que j’aime dans le modèle de la franchise, c’est que c’est gagnant-gagnant. Le franchiseur veut que tu réussisses, donc il t’aide. Et toi, si tu veux réussir, tu dois aussi jouer le jeu avec la franchise. C’est un cercle vertueux.
Avec le recul, avez-vous des regrets concernant ce choix ?
Aucun, clairement. Pour moi, ceux qui se lancent en indépendant aujourd’hui ne voient pas que le métier a évolué. Comme beaucoup de secteurs, il s’est transformé. Il y a de plus en plus de débosseleurs, et tout le monde fait la même chose : du débosselage en indépendant, avec une prospection client souvent bancale.
Si tu veux te démarquer et être vraiment bon, il faut te regrouper, savoir prospecter, répondre à un vrai besoin, et surtout te diversifier.
Quelle était votre principale préoccupation avant de signer ? Comment le réseau y a-t-il répondu ?
Ma principale préoccupation, c’était de savoir si la franchise allait vraiment jouer le jeu. On sait ce qu’elle attend de nous — c’est écrit noir sur blanc — mais on ne sait pas à l’avance si, une fois engagé, elle sera à la hauteur de ses promesses. On se dit : "Bon, ils ont tout intérêt à ce que tu réussisses, donc ça devrait aller."
C’était ce doute-là qui revenait aussi dans les discussions avec mes proches. "Oui, mais il faut qu’ils tiennent leurs engagements… Une fois que tu as payé les droits d’entrée, il faut que ça suive."
Et au final, non, je n’ai pas été abandonné, bien au contraire. Il y a des commerciaux, il y a toute l’équipe, il y a un vrai accompagnement. Bien sûr, il y a toujours un petit risque au départ : tu ne connais pas encore les gens, tu entends parler d’arnaques à droite à gauche. Mais ce doute-là a disparu dès que je suis allé à la rencontre à Saint-Hilaire.
Je dois dire que, dès le premier appel, Ivane m’a complètement rassuré. Elle a été hyper claire, transparente, réactive. Et ça, pour moi, c’est un vrai gage de solidité. Quand tu poses une question et qu’on te répond avec précision — ou qu’on te dit "je reviens vers toi" et qu’on revient vraiment — ça change tout.
Je pense que j’ai mis un peu la pression à Ivane à plusieurs reprises, surtout sur les timings. Et à chaque fois, elle a répondu présente.
Comment s’est déroulée votre formation initiale ?
Humainement, c’était top. Chez X’PERT IMPACT, chaque personne que j’ai rencontrée a une vraie dimension humaine. On ne voit pas dans tes yeux que des royalties à encaisser. On voit d’abord un humain. Bien sûr, il y a un intérêt économique, mais ce n’est pas la première chose qu’on ressent. Et ça, c’est fondamental à mes yeux. Parce que quand tu vends quelque chose, tu vends d’abord une émotion.
La formation en elle-même s’est bien passée. Ce qui est proposé suffit pour bien démarrer, et ça permet d’ouvrir des portes qu’on n’aurait pas forcément ouvertes si on ne faisait que du débosselage.
Par contre, lors de ma formation, même si tu pouvais dire ce qui n’allait pas, l’équipe ne se remettait pas vraiment en question. Même si plusieurs personnes faisaient les mêmes remarques. Et ça, c’est une grosse erreur humaine, parce que si tu ne te remets jamais en question, tu n’évolues pas.
Si j’avais découvert X’PERT IMPACT au moment où je cherchais une formation en débosselage, j’aurais signé tout de suite. Parce que là, le formateur a tout intérêt à ce que tu sois bon. Dans les centres de formation "classiques", une fois que tu es parti, ils ne te rappellent jamais, ils ne suivent pas ton parcours. Au fond, c’est presque mieux pour eux que tu ne sois pas bon : comme ça, tu ne deviens pas un concurrent.
Quels sont les points forts que vous retenez de cette formation ?
Le centre de formation lui-même. Il est vraiment bien pensé. Tu t’y sens bien. Il y a un esprit un peu start-up que j’aime bien. Et quand tu te sens bien dans un endroit, tu as envie d’y rester, tu y mets plus d’énergie, plus d’implication.
Et puis l’équipe est à proximité. Tu as une question ? Il y a toujours quelqu’un pour te répondre. Le contact est facile.
Comment le réseau vous a-t-il soutenu lors du lancement de votre secteur ?
Il y a eu un vrai soutien stratégique, notamment pour la prospection. Par exemple, il vaut mieux se présenter comme expert en rénovation intérieure avec débosselage, plutôt que d’arriver en disant juste : "Je fais du débosselage". Sinon, on te répond : "J’ai déjà quelqu’un", et c’est terminé.
Ce qui m’a vraiment plu aussi, c’est le soutien des commerciaux. Ils te mâchent le travail, font une première approche téléphonique, et t’envoient un mail dès qu’ils ont calé assez de rendez-vous pour ta semaine. Tu reçois toutes les infos, tu n’as plus qu’à aller convertir les prospects en clients.
Pendant que toi, tu bosses sur une voiture quelque part, eux, ils prospectent pour toi. Et ça, c’est un gain de temps énorme.
Je me suis senti super bien accueilli dans cette phase de prospection. Franchement, je n’ai jamais eu de mauvais retour. Bien sûr, il y a parfois des humains, donc des petits problèmes, mais c’est rare. Je dirais que 9 fois sur 10, on est bien reçu, et parmi ceux-là, entre un tiers et la moitié ont un intérêt réel — immédiat ou futur.
Mon objectif maintenant, c’est de construire une base d’une quinzaine de gros clients réguliers. Ce n’est pas encore le cas, mais j’y travaille.
Quels outils ou services du réseau vous ont été les plus utiles au démarrage ?
Le camion, clairement. J’étais à deux doigts d’en acheter un juste avant de signer. À deux jours près, c’était fait. Mais le modèle proposé par le réseau est top, avec notamment la servante Milwaukee : super bien pensée.
Et le logiciel métier, XPERT GENIUS. Avant, j’utilisais une application créée par un débosseleur un peu geek, dans un groupement que je commençais à approcher. Mais c’était complexe. Là, c’est mille fois plus simple. Tout est intuitif. Je pense que même ma grand-mère pourrait l’utiliser.
Comment se passe l’accompagnement au quotidien ?
Le matin, je pars bosser en me disant que si j’ai le moindre doute, j’ai juste à sortir mon téléphone. Je peux écrire dans le groupe WhatsApp, appeler Paulo, appeler Ivane. Il y a toujours quelqu’un.
Par exemple, j’ai eu un souci de facturation — c’était de ma faute — j’ai appelé Paulo, et j’avais ma réponse dans la journée. En indépendant, je n’aurais eu personne à appeler.
Aujourd’hui, je ne suis plus juste un débosseleur. Je suis le gérant de ma boîte. Et grâce à X’PERT IMPACT, je me sens plus compétent, plus confiant. Je suis rassuré, je sais que je vais atteindre mes objectifs. Je ne sais pas encore dans combien de temps, mais j’ai confiance, c’est juste une question de temps.
Et puis, même quand il n’y a pas de grêle, il y a toujours du boulot : des coups de porte, des trous de cigarette, des jantes abîmées… Il y a toujours quelque chose. Ce qu’il faut comprendre, c’est que la grêle, c’est du bonus. C’est le rêve de tout débosseleur, oui, mais il ne faut pas tout miser là-dessus.
Il faut viser une activité solide, avec du travail régulier. J’ai vu des franchisés qui font des chiffres incroyables sans grêle. Donc c’est possible, à condition de bien bosser, d’y mettre du fond.
Plus le réseau grandit, plus il est reconnu, plus il décroche des contrats intéressants. Et cette notoriété-là permet d’aller voir des clients comme les loueurs de voitures, qui eux ont toujours besoin de réparations. Même en période creuse, leurs véhicules se prennent des coups. Et là, tu es présent.
Quels sont vos projets de développement à court et moyen terme ?
À moyen terme, d’ici la fin de l’année, mon objectif est de transformer assez de prospects pour créer une base de travail récurrente. Je veux m’éloigner progressivement des particuliers, parce que c’est instable, chronophage et énergivore, surtout en termes de communication.
Sur le long terme, mon but est d’atteindre les 10 000 € de chiffre par mois. Je fonctionne assez au présent, mais j’ai en tête que je dois atteindre les 120 000 annuels rapidement. 2025, pour moi, c’est jouable.
Quel conseil donneriez-vous à une personne qui hésite à rejoindre X’PERT IMPACT ?
Ne vous mettez pas de barrières. Faites comme moi : allez voir. Posez vos questions, rencontrez l’équipe. Vous verrez si ça répond à votre besoin. Mais n’anticipez pas négativement. Si vous partez avec des idées toutes faites — "ça ne va pas marcher", "ce n’est pas pour moi", etc. — c’est mort.
Il faut rester optimiste, curieux, ouvert.
Quels sont, selon vous, les facteurs clés de réussite dans ce métier ?
Il y a un biais au départ. Avant d’être débosseleur, on regarde les vidéos et on se dit : "C’est pas compliqué, je prends une tige en métal, un outil cruciforme, et je pousse." Mais en réalité, ce n’est pas simple. C’est technique. Et au début, quand tu ne sais pas faire, c’est compliqué.
Donc il faut de la persévérance, de l’envie, et surtout une mentalité de battant. Il faut croire en soi et ne rien lâcher.
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