ACTUALITÉ CABETE FAÇADES

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots et nous expliquer votre parcours professionnel avant votre lancement en tant que franchisé Cabete Façades ? 

Jérôme Hellard, 43 ans. Je suis marié, j’ai 2 enfants de 11 et 8 ans. Après une maîtrise de gestion option création d’entreprise, j’ai commencé à travailler dans une caisse de retraite avant de faire toute ma carrière dans le domaine bancaire. J’ai eu l’opportunité d’évoluer pendant une quinzaine d’années dans ce secteur et d’occuper différents postes tels que conseiller bancaire pour les particuliers, conseiller en gestion de patrimoine, directeur d’agence et enfin analyste crédit pendant les 5 dernières années. En 2021, à la suite d’un bilan de compétences, j’ai décidé de quitter ce milieu pour me mettre à mon compte.

Pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?

Les 5 dernières années, j’analysais une quarantaine de dossiers de financement par jour. J’étais dans un confort inconfortable et je m’ennuyais farouchement. Le bilan de compétence m’a aidé à réaliser que j’avais besoin de retrouver une relation avec mes clients et de vendre un produit concret. Je me suis également rendu compte que je m’étais investi énormément pour mon entreprise et que je n’avais pas eu de retour sur investissement. Quitte à faire beaucoup d’efforts, autant que ce soit pour moi.

Pourquoi avoir choisi la franchise ? 

L’idée de la franchise s’est imposée rapidement à la suite du bilan de compétences. Je me suis dit que c’était le meilleur moyen pour démarrer rapidement. Je ne me voyais pas tout créer à partir de zéro. Ni être totalement seul. Le soutien d’un réseau, c’est précieux pour moi qui n’ai pas d’expérience dans le bâtiment.

Pourquoi le réseau Cabete Façades en particulier ?

Je me suis intéressé au secteur du BTP suite à un projet personnel sur ma maison. À ce moment-là, j’ai réalisé qu’il y avait beaucoup à faire dans ce secteur. C’est en cherchant une entreprise sérieuse que j’ai découvert Cabete Façades. Je m’étais renseigné sur d’autres franchises dans le monde du bâtiment mais n’étant pas du métier, il me semblait que ce n’était pas sérieux de me lancer dans une activité tous corps d’état. Devenir spécialiste du ravalement de façades et de l'isolation thermique par l'extérieur me permet de gagner en crédibilité auprès de la clientèle et d’agir pour la planète.

Êtes-vous soutenu dans votre projet ?

Oui, ma femme m’a poussé à me lancer depuis le début. Elle sait que ce sera beaucoup de travail mais elle me soutient totalement. C’est le bon moment car d’une part, nos enfants sont un peu plus autonomes, et d’autre part j’ai encore beaucoup d’énergie à mettre au service de ce projet. Et puis, j’ai bien évidemment le soutien de mon franchiseur, qui m’a aidé dans toutes les étapes du projet : création de mon entreprise, recherche du local, du financement, etc.

Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?

Oui, j’ai comparé avec une autre franchise spécialiste du ravalement mais je n’ai pas été séduit par le projet car leur modèle prévoit de faire appel à des sous-traitants. Chez Cabete Façades, je vais recruter des salariés qui seront formés et accompagnés, je serai ainsi en mesure de mieux maîtriser la qualité des prestations délivrées à mes clients. De plus, l’enseigne que j’ai contactée ne proposait pas l’isolation thermique. C’est dommage car c’est un vrai plus pour les clients et cela leur permet de bénéficier d’aides de l’État.

Qu’est-ce qui vous plaît dans votre nouveau métier ?

Ce qui me plaît, c’est la découverte de clients de tous horizons et de projets très différents. Je vais être amené à être très mobile alors que sur les dernières années, mon poste était sédentaire. Enfin, mes journées seront toutes différentes : gestion de la société, des commandes, des équipes et des plannings, des chantiers, etc. Je vais maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur.

Qu’est-ce qui vous a séduit chez Cabete Façades ?

Tout d’abord, la société existe depuis 1965, c’est une entreprise familiale qui possède une vraie expertise dans son domaine. C’est un gage de sérieux. Elle est bien positionnée sur une offre de niche et perçue comme un acteur sérieux sur ce marché. Elle dispose d’outils performants et d’une méthodologie rodée. Enfin, j’adore le marketing en rose fushia. Ce n’est pas courant dans le monde du bâtiment et du coup, ça marque les esprits, les gens ne nous oublient pas.

Allez-vous mettre à profit des compétences acquises lors de vos expériences précédentes ?

Tout à fait. Dans le domaine bancaire, on travaille énormément sur la satisfaction client. La notion de service est très importante. J’ai envie de mettre cette exigence au service de mes clients. Ce sera un atout pour mon entreprise, tout comme le savoir-être que j’ai acquis au cours de mon expérience professionnelle.

Combien avez-vous investi et quel ROI attendez-vous ?

J’ai emprunté 105 K€ et j’investis 25 K€ en fonds propres pour lancer l’activité. Cela couvre le droit d’entrée, la formation, les frais de création de la société, les stocks de matériaux, les travaux d’aménagement du local, etc. Les deux premières années, les dispositifs d’accompagnement de pôle emploi vont me permettre de constituer une trésorerie solide, puis je commencerai à me rémunérer. Mon objectif est de dépasser mon prévisionnel qui est de 380 K€ en année 1 et de 594 K€ en année 2. Au niveau recrutement, je vais remplir mon carnet de commandes les 3 premiers mois puis j’embaucherai un responsable d’équipe et deux façadiers pour gérer les chantiers. J’ai prévu de recruter une 2e équipe au bout de la 2e année, et peut-être même avant si j’ai trop de demandes !